MailClark, une place à prendre dans la bataille des bots
Une technologie qui relie entre eux des systèmes de messagerie
Les plateformes de messaging de type Slack ou Facebook@work connaissent une croissance exponentielle. Or elles sont peu ouvertes sur le monde extérieur, il est par conséquent difficile d’intégrer à une équipe des interlocuteurs externes qui sont souvent très attachés à l’email. L’email est le seul standard de communication écrite ouvert et universel mais il est radicalement différent des plateformes de messaging : deux mondes à part du fait de leur format, du rythme des échanges et des habitudes des utilisateurs.
Peu d’outils relèvent le défi de faire le lien entre les deux. MailClark l’a fait en développant une technologie unique, un bot qui permet de franchir la barrière qui sépare les deux mondes : aucun changement d’un côté comme de l’autre, chacun conserve ses habitudes de travail.
Questions à Anthony Bleton-Martin, CEO et cofondateur
Vos premiers succès ?
Créée en 2014 sous le nom de Clubble, l’entreprise a lancé MailClark en mars 2016, première version officielle de notre « bot ». En devenant la version la plus complète d'interconnexion de Slack avec l’email, MailClark s’est rapidement hissé à la 70ème place du classement des applications les plus populaires de la plateforme. MailClark sera bientôt disponible sur d’autres plateformes de messaging comme Skype, Messenger ou Telegram.
Vos premiers clients ?
A l’été 2016, MailClark comptait plus de 20 000 utilisateurs, partout dans le monde, avec une forte concentration aux États-Unis. La clientèle visée —les aficionados du messaging— est très large et nous avons choisi de nous concentrer d’abord sur Slack qui, en quelques mois, a constitué un nouvel écosystème à très forte croissance. Ses utilisateurs sont fans de l’outil, qui devient rapidement le centre de tout leur travail en équipe.
Repères
- Date création : septembre 2014, sous le nom de Clubble
- Date d’entrée d’IT-Translation : décembre 2014
- Levée de fonds : 300 000€ IT-Translation (décembre 2015)